Retour du messager

par **Orochimaru** Dim 18 Fév - 9:43

Arrivé au pays du riz, le messager se presse de rentrer dans le village du son. Il repasse par la porte ouest ou se trouve un membre du son nommé Jirôbô, mais le messager ne le voit toujours pas en passant par cette porte. Le messager remet son bandeau d’Oto puis se dirige en direction de mon manoir. Arrivé devant celui-ci, il y s’aventure regardant sur le sol, mais il ne regarde pas le sol seulement, il regarde les taches de sang inscrites dessus. Il fait très froid dans mon manoir, mais encore plus dans mon bureau, c’est pour cela que ce dernier s’empresse d’aller à mon bureau car il ne peut pas supporter cette température et veut le plus vite possible s’en aller. Le messager traverse l’endroit ou se trouver les détenus, puis frappe à la porte trois fois. Je ne répond pas comme d’habitude et le laisse entré. A peine entré, la température devient glacial pour le messager, il frissonne et regarde encore le sol de cette salle étant déjà terni par le sang des imprudents qui s'y sont trop souvent aventuré en défaitistes. Il baisse les yeux et sans se présenter, il me donne la lettre. Pour le moment je le laisse, je prend la lettre et la lis attentivement, pendant que ce dernier reste sur place sans supporter la température qui s’y présente dans mon bureau. Après avoir lu la réponse donné par Shisui Uchiwa étant le Mizukage, je ricane sans faire de bruit puis parle au messager tout en tenant la bougie dans ma mains.

« Et bien, tu as fais du bon travail, veux-tu devenir comme ces prisonniers là ? »

L’écho de mes paroles terrorise le messager, seulement par cette simple phrase, il frissonne mais cette fois-ci de peur. Comment expliquer cela ?

« Qu’est-ce que j’ai fa … »

Lorsque celui-ci prononce ceci, il n’a déjà plus de tête, d’une rapidité extrêmement accru, je réussis à couper sa tête. Comment l’ai-je fais ? Et pourquoi ? La raison est simple, Kusanagi était déjà sortit et je l’ai tué car il ne s’est pas présenté, voilà pourquoi il y a du sang sur le sol glacial de mon bureau. Je m’avance vers le corps allongé sur le sol se baignant dans son propre sang. Je prend son corps et le jette hors de mon bureau.

« Il ne faut jamais être pressé lorsque tu rentres dans mon manoir, misérable … »

Cette phrase est vrai, même les prisonniers l’ont entendu et voient le corps allongé sur le sol. Je ferme la porte après ceci et retourne à mes occupations …

*Uchiwa Shisui … *

[ Oui je n'ai pas raconté le voyage car j'ai la flemme, j'éspère que ça suffit comme ça. ]